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Le site du Conseil National pour la Résistance - Mouvement Umnyobiste (CNR - MUN)
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19 mai 2009

Pius Njawé déshabille Biyiti Bi Essam, le voleur de la République qui refuse de démissionner!

Le ministre de la communication -en attente de son limogeage et de son arrestation- du régime sanguinaire de Paul Biya, a eu la mauvaise idée de s'attaquer à notre Puis Njawé national, en espérant par cet exercice de griotisme grotesque et puéril, reconquerir les grâces du Palais d'Etoudi et espérer ainsi, se maintenir au gouvernement alors que tous les observateurs de la vie politique camerounaise, le donnent partant au prochain remaniement annoncé pour l'après 20 mai au Cameroun.

Selon nos sources, depuis la mauvaise gestion des 770 millions de la visite papale par Biyiti Bi Essam, ce dernier aurait tenté en vain de rencontrer le Sécretaire Général de la Présidence et plus récemment, Paul Biya pour  prétent-il leur "expliquer de vive voix ce qui s'est passé dans l'affaire de l'argent du Pape"! Biyiti Bi Essam aurait ainsi, passé lundi dernier, plusieurs heures au palais présidentiel, en espérant être recu  par le prince de Mvomeka. Paul Biya l'aurait superbement ignoré faisant dire à Biyiti, qu'il le "verait plus tard", sans calendrier précis.

C'est donc un Biyiti totalement désavoué par son chef et désormais obligé de raser les murs du Palais d'Etoudi et de l'immeuble Etoile, qui a cru devoir s'attaquer à Puis Njawé, dans dessein inavoué de redorer son blason auprès du "19e dictateur le plus cruel du monde"!

C'est l'histoire de l'arroseur arrosé, puisque le stratagème de Biyiti se referme finalement sur sa personne...Njawé ayant sorti l'arsenal lourd contre l'imposteur, en lui administrant au passage quelques cours gratuits de déontologie journalistique!

Lisez plutôt la réaction pour le moins corsée de Puis à Biyiti, cet homme sans honneur qui se mêle de tout et à tout, pourvu que cela lui permette de conserver son maroquain ministériel qu'il a depuis perdu!

Raoul Frejus


"Tout flatteur vit aux dépens de celui qui l’écoute"

Par pius n. njawe *

ImageMonsieur le ministre de la Communication,

Je me suis permis de vous appeler sur l’un de vos nombreux téléphones portables vendredi après-midi, après avoir lu dans le quotidien gouvernemental Cameroon Tribune et dans le quotidien privé Le Jour, le papier que vous avez commis en réaction à un article paru le 13 mai dernier dans… Le Messager. Malheureusement, vous avez refusé de décrocher, avant d’éteindre votre téléphone par la suite. M’obligeant ainsi à vous laisser un message dans lequel je vous promettais une réaction ce lundi.
J’ai lu en effet avec un intérêt certain vous vous en doutez, ce pamphlet dans lequel vous vous attaquez gratuitement et inopportunément au Messager, à l’un de ses journalistes, à son comité éditorial, à son directeur de publication et à l’ensemble de la presse camerounaise, au sujet d’un article de notre correspondant à New-York, Célestin Ngoa Mballa, sur le récent séjour de Chantal Biya aux Etats-Unis d’Amérique. Dans cette lettre d’opinion intitulée    « Peut-on empêcher les étoiles de resplendir ?», vous accusez Le Messager d’avoir inopportunément utilisé le terme « fréquentation » pour exprimer les relations (éphémères ?) entre Chantal Biya et des artistes d’une autre classe – dont l’actrice pornographique Paris Hilton – à New-York aux Etats-Unis lors d’une soirée de gala des premières dames d’Afrique à l’Hôtel Hilton de Hollywood le 22 avril 2009. Vous dites que ces dernières se sont retrouvées nez à nez avec l’épouse du chef de l’Etat camerounais et ont sollicité une pause photographique que Mme Biya n’avait pas le droit de refuser. Vous concluez sur ce point en affirmant que dénoncer cela, au nom de la très haute idée que nous avons de la première dame (de surcroît ambassadrice de bonne volonté de l’Unesco), c’est « jalouser une étoile qui resplendit au firmament ».
Vous poursuivez votre chef-d’œuvre en mettant en relief l’importance que le comité éditorial du Messager aurait donné à cette attitude de Mme Biya. Et pour vous, « cette importance laisse clairement entrevoir […] la main du directeur de publication soi-même ». Comme quoi cet article a été commandé à dessein par le comité éditorial et que Célestin Ngoa Mballa, son auteur, s’il n’est pas un prête-nom, ne serait qu’un instrument aux mains de Pius N. Njawé. Et puis vous passez du coq à l’âne en évoquant « un entretien privé » que nous aurions commencé à Douala au sujet du parti pris politique de la presse au détriment du journalisme. Vous dites précisément que la presse ignore tout ce qui se fait bien ou jette l’opprobre sur tout ce qui se fait de bien. Et puis, vous concluez en déclarant que notre correspondant que vous qualifiez d’éphémère et de volatile n’a pas produit plutôt un reportage sur la fameuse soirée de gala parce qu’il n’était pas là. Votre lettre d’opinion – elle ressemble fort curieusement à un faux droit de réponse, à un droit de rectification déguisé, ou alors à une mise au point travestie – a été publié vendredi dernier dans Cameroon tribune, Le jour, et à la Crtv-Poste national (radio et télé). Cela témoigne de l’importance que vous y accordez. Mais je constate simplement que vous ne l’avez pas envoyée au Messager comme le prescrit la déontologie d’un métier dont vous avez fui la pratique quotidienne. L’intention était-elle vraiment de corriger ?
Monsieur le ministre de la Communication, avant de penser à nous offrir un dictionnaire pour nous renseigner sur le mot fréquentation, vous feriez mieux d’en acheter déjà pour vous-même pour vous renseigner suffisamment sur certains termes que vous utilisez abusivement dans ces diatribes dont vous êtes devenu un champion ? Le Messager aurait pu vous en offrir, mais il ne vous manque pas de l’argent pour cela ; les caisses noires du ministère et autres allocations spéciale comme par exemple les 750 millions de la visite du pape, ne sauraient souffrir d’un prélèvement pour l’achat d’un dictionnaire au Mincom. Ceci étant, Célestin Ngoa Mballa n’est pas un correspondant éphémère. Il n’est non plus volatile ! Ephémère signifie en effet, dans le plus commun des dictionnaires, «qui ne dure qu’un jour » ou « qui dure peu ». Volatile, quant à lui, veut dire « qui se transforme facilement en vapeur, en gaz ». Au sens figuré, le terme renvoie à fluctuant. Monsieur le ministre, soit vous ne connaissez pas Le Messager, soit vous voulez trompez Chantal Biya, ou alors le peuple camerounais. Célestin Ngoa Mballa a longtemps travaillé au Messager à Yaoundé, avant de s’envoler, mobilité sociale et professionnelle oblige, pour les Etats-Unis d’Amérique où il est notre correspondant permanent à New-York. Si vous n’étiez pas plus occupé à écouter les ragots, vous vous seriez rendu compte qu’il nous envoie permanemment des articles pour toutes actualités qu’il trouve intéressantes pour Le Messager.
Quant aux fréquentations dont vous parlez, je voudrais croire que vous n’avez pas le monopole de la lecture de dictionnaires. Une fréquentation est une relation sociale habituelle. On peut aussi avoir de fréquentes relations avec quelqu’un, avec un genre de personnes. Est dit fréquent ce qui arrive souvent, ce qui se répète. Pour le cas d’espèce, Mme Biya a rencontré Paris Hilton à New-York. Mais la même artiste pornographique affirme que la première dame du Cameroun l’a invitée en personne au Cameroun. La relation, à ce moment, devient suivie. Tout va se répéter. Y a-t-il fréquentation, du moins une perspective de fréquentation ou pas, monsieur le sorcier du français ? Dites-nous, Jean-Pierre Biyiti bi Essam : est-ce « jalouser les étoiles qui resplendissent au firmament », que de dire aussi simplement les choses récoltées par l’observation du comportement des personnages ? 
C’est l’occasion ici de vous rappeler que le comité éditorial du Messager n’est pas là pour commander des articles, ou faire des titres à la une, mais pour donner les grandes orientations semestrielles ; et les autres gèrent le reste au jour le jour. Par ailleurs, je suis un directeur qui sait ce que veut dire déléguer des responsabilités. Quand je nomme des collaborateurs, ils assument pleinement leurs fonctions en toute liberté, quitte à en répondre devant leur hiérarchie qui, à son tour, assume devant les tiers. Interrogez n’importe quel responsable du journal, ancien ou nouveau, il vous le dira. Je sais que de là où vous êtes, vous télé dirigez des rédactions, notamment à Mvog-Mbi, Longkak et Mballa 2, où siègent les médias d’Etat dont vous abusez si souvent. Sachez qu’il ne s’agit que de méthodes moyenâgeuses que Le Messager ne pourrait tolérer. Au Messager, nous avons le tort de dire ce que nous pensons et la joie d’avoir des ennemis. Donc, nous n’avons pas besoin de nous cacher derrière des prête-noms pour critiquer les tares de notre société ; d’où l’un de nos slogans :           « Quand on a du caractère, on l’affiche ! » 
De plus, affirmer que nous ignorons royalement tout ce qui se fait de bien en parlant notamment de Chantal Biya est d’une inexactitude tendancieuse ; puisqu’à plusieurs reprises dans les colonnes du Messager, nous avons mis en « Coup de châpeau » l’épouse du président pour des choses qu’elle avait faites de bien. Au demeurant, il en est de même pour des membres du gouvernement et autres commis de l’Etat.
Mais là où vous vous rendez détestatble, c’est quand vous osez mettre des entretiens privés sur la place publique. Vous auriez dû alors avoir le courage de révéler aux Camerounais tout le contenu de cet entretien privé que nous avons eu ! Voyez-vous, cher ex-confrère : si j’étais comme vous un petit esprit, je ferais comme vous en révélant ici même tout ce que vous m’avez dit au cours de cet entretien privé, et, croyez-moi, cela vous précipiterait certainement vers la sortie de la mangeoire. Mais je ne vous suivrez pas dans la félonie, parce que cela n’est pas professionnel.
Tout ceci témoigne bien du genre de journaliste que vous avez été. Cette anti qualité transparaît d’ailleurs un peu partout dans votre texte, lorsque vous prêtez des intentions aux gens, prononcez des sentences sans juger, énoncer des faits sans recoupez, etc. Voyez-vous, c’est exactement ce que vous reprochez à ceux qui ont encore le courage d’exercer ce métier, puisque vous l’avez fui depuis longtemps en vous réfugiant dans la sécurité prébendière d’un système liberticide. Feriez-vous alors de la projection ?
Vous masquez probablement vos desseins pour ce que vous appelez le parti pris. Mais rappelez-vous, Jean-Pierre, qu’un journal sérieux a toujours un parti pris. Le nôtre découle du parti pris de l’humanité contre les misanthropes. Pratiquement, nous sommes attachés à tout ce qui nuit à la République, dans le sens où comme de tradition, seul le train qui arrive en retard intéresse le journaliste. C’est ce train-là qui l’intéresse parce que son souhait est que le train n’arrive jamais en retard.
On vous comprend, pauvre Jean-Pierre, mais soyez souvent modestes. Le contexte dans lequel vous faites cette sortie médiatique vous donne des insomnies. Vous êtes désormais un ministre qui fait profil bas. Vous avez transformé votre ministère en pandémonium pour l’essentiel de vos collaborateurs qui prient nuit et jour pour que le remaniement ministériel arrive au plus vite et que l’on vous ôte de leur vue. Vous avez des démêlées avec la justice qui veut savoir clairement comment vous avez géré l’argent de la visite du pape. Vos arguments, que seul Le Messager a suffisamment relayés, ne semblent pas toujours convaincre. Selon certains de vos collaborateurs, vous vous trouvez dans une posture de reconquête de la confiance du couple présidentiel. Vous êtes donc prêt à user de tous les moyens. Ici convient bien la fable de La Fontaine selon laquelle « tout flatteur vit au dépend de celui qui l’écoute », et vous espérez que cette leçon vaudra sans doute le sauvetage de votre strapontin ministériel. Pensez-vous que les attaques contre Le Messager, son reporter et même l’ensemble de la presse soient les lieux idoines pour faire démonstration de votre capacité à défendre les hérésies présidentielles ?   
     Monsieur le ministre de la Communication, Chantal Biya ne vous sauvera pas. Même si vous êtes maintenus dans vos fonctions pour combien de temps encore je ne sais, vous finirez par être livré à la vindicte de l’opinion. Quand on vous a nommé ministre, seuls les naïfs et les hypocrites ont applaudi ; aujourd’hui eux-mêmes sont exaspérés et le jour où on vous chassera de là, ils applaudiront probablement plus fort que tout le monde. Jour après jour, vous tombez progressivement le masque, vous révélant pour ceux qui ne vous connaissaient pas encore bien comme un assassin du journalisme, un ennemi de la communication, et un adversaire des autres administrateurs de la communication. Et, pour tout dire, un obscur défenseur de l’ordre inique établi.

*directeur de la publication du Messager

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Voici la lettre par laquelle Biyiti s'est attaqué aux abeilles!

Peut-on empêcher les étoiles de resplendir ?

par Jean-Pierre Biyiti Bi Essam *

ImageD’aucuns pourraient se poser des questions, de prime abord saugrenues, comme de savoir si l’on peut empêcher la terre de tourner autour du soleil, les fleuves de se jeter à la mer, et les étoiles de resplendir au firmament.

Nous sommes en effet quelques uns à nous poser ces questions-là, après avoir parcouru la livraison du journal Le Messager du mercredi 13 mai 2009, n°2854, dont la première page nous donne à voir un instantané : la pose photographique de la Première Dame du Cameroun, Madame Chantal Biya, avec une star – étoile en anglais – américaine comme son prénom ne l’indique pas : Paris Hilton.
L’article, annoncé à la Une, et signé en page intérieure (p.4) par un certain Célestin Ngoa Balla à New York, parle de « fréquentations, au sens péjoratif, indubitablement induit par le sur-titre de la Une : Frasques, et l’adjectif du titre en page 4, mauvaises.
Du mot fréquentation le petit Larousse illustré, 2007, p. 484 donne la signification suivante : « action de fréquenter un lieu, une personne » ; ce qui nous renvoie à fréquenter qui veut dire, toujours selon le petit Larousse, « aller souvent, habituellement, dans un lieu ; avoir des relations suivies avec quelqu’un ».
On aurait presqu’envie, à la très prochaine distribution de l’aide publique à la presse privée, de faire don… de quelques dictionnaires français car, de se retrouver quelque part en Amérique, à Hollywood ou ailleurs peu importe, dans le cadre d’une cérémonie publique ponctuelle, n’est évidemment pas, si les mots ont encore un sens, fréquenter l’Amérique.
Encore qu’il n’y ait aucun mal à fréquenter les Etats-Unis d’Amérique, ou leurs Ambassades et autres chancelleries étrangères ici et là, assidûment fréquentées au demeurant par ceux qui ont choisi l’ignoble commerce de vendre à l’encan leur pays, contre un passeport, contre une carte de séjour, du froment…Un Ambassadeur US en poste à Yaoundé a eu en son temps à s’émouvoir de ce trafic honteux; ceci n’est pas pour insinuer que M. Ngoa Balla Célestin en aurait bénéficié.
De se retrouver incidemment, de façon impromptue, par hasard, nez à nez avec une personne, en l’occurrence belle et célèbre, donc, permanemment assaillie par les paparazzis, et qui sollicite une pose photographique avec vous ne saurait signifier fréquenter cette personne.
Peut-on prétendre que la Première Dame du Cameroun fréquente toutes ces Dames qui, systématiquement, lors des cérémonies de présentation des vœux au Palais de l’Unité, demandent à poser avec elle ? La Première Dame doit-elle refuser de poser avec ces Dames, pour quelque raison que ce soit ? Non, évidemment ; c’est leur droit de réclamer une pose avec la Première Dame, c’est le devoir de la Première Dame, que lui impose sa charge, d’accepter de bon cœur.
C’est pourquoi, pour dire le moins, on est plutôt surpris par le titre du journal Le Messager ; titre d’autant plus fantasque qu’il concerne une Dame fantastique, récemment reconnue aux yeux du monde dans ce qu’elle est, dans ce qu’elle fait, et dans ce qu’elle apporte par un organisme du système des Nations Unies, l’UNESCO en l’occurrence, que l’on ne saurait soupçonner de complaisance. Pour le Cameroun, pour les Camerounais de bonne foi de toutes conditions et des toutes opinions, c’est un capital essentiel, mieux, une valeur refuge.
Le Ruy Blas des cavernes de New York, qui entend imputer à la Première Dame du Cameroun, les frasques, vraies ou supposées, les propos, vrais ou supposés, de ceux et celles qu’elle vient à croiser sur son chemin, a tout l’air de jalouser les étoiles qui resplendissent au firmament; M. Célestin Ngoa Balla  doit se rendre à cette évidence élémentaire que c’est le Destin des étoiles de resplendir au firmament. Paris Hilton, que M. Ngoa Balla ne peut voir qu’à la télé, ne peut être que ce qu’elle est ; ce n’est la faute, ni à Voltaire, ni à Rousseau, ni à Madame Gordon Brown, ni même à M. Célestin Ngoa Balla, encore moins, à la Première Dame du Cameroun.
Cependant que l’importance que le comité éditorial du Journal le Messager a cru devoir donner au point de vue burlesque du héros hugolien qui le représente à New York ne manque pas, elle aussi, de surprendre. Cette importance laisse clairement entrevoir - parce que les fantômes ne sauraient, comme on dit chez nous, jouer à cache cache - la main du Directeur de publication soi-même.
Et le Directeur de publication du Journal le Messager me permettra alors de prolonger ici un entretien privé commencé l’autre jour à Douala, au cours d’une audience, lors de la dernière visite de travail du Ministre de la Communication. La question à lui posée était la suivante : « Pourquoi avez-vous choisi de sacrifier le journalisme sur l’autel du parti pris politique ? » Question de conscience qu’il est grand temps, nous semble-t-il, de poser à la presse camerounaise dans son ensemble car, le public de la presse est comme pris en tenaille  dans une alternative récurrente dont les deux termes sont : ignorer royalement tout ce qui se fait de bien, premier terme ; et second terme : jeter l’opprobre, le discrédit, l’ordure et la salissure sur tout ce qui se fait de bien.
Est-ce donc le rôle de la presse que de tout peindre en noir ? Pourquoi l’éphémère et volatile correspondant new yorkais du Messager, sans doute adepte de l’underground press, ne nous a-t-il pas servi un reportage de choses vues pendant la cérémonie organisée par la Présidente de Synergies africaines ? En fait il n’a rien vu parce qu’il n’était pas là; il est ce correspondant de guerre qui vous fait le récit d’un combat de chars depuis sa chambre d’hôtel new yorkaise. Et c’est ici que l’escroquerie se mêle à la mauvaise foi pour finalement, empester  « une odeur d’échec » de la presse à parti pris. Le public camerounais de la presse mérite mieux que ça.
Pour l’heure, la Première Dame du Cameroun, Présidente de Synergies africaines, prend activement part à une réunion des Ambassadeurs de bonne volonté de l’UNESCO./-

*ministre de la Communication

 

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